La planète TERRE. Ce qu’en dit la Bible …

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♦ ♦ ♦ 1922 ♦ ♦ ♦

Les hommes de science, les savants sont souvent obligés de reconnaître la justesse de l’Ecriture Sainte ; ils croient faire des découvertes remarquables, et, s’ils lisent la Bible, ils peuvent constater que les écrivains inspirés en ont fait mention bien des siècles avant eux. Ils se sont penchés sur les secrets de la terre, soit pour y chercher de nouvelles sources d’huile ou de minéraux, soit en pénétrant dans les grottes pour y explorer les abîmes et leurs mystères.  » Des géologues israéliens l’ont étudié pour y trouver quelque indice sur les gisements de cuivre et de fer, de phosphates et de manganèse. Ils y ont découvert des renseignements qui permettraient de localiser l’emplacement de certaines mines de cuivre  » (Unesco). Leurs observations nous permettent d’entrevoir quelque chose des merveilleuses conditions physiques dans lesquelles nous vivons.
Notre globe est à la fois plus rigide et plus élastique que l’acier. La force centrifuge le fait tourner plus rapidement à l’équateur qu’aux pôles, légèrement aplatis. S’il tourne sur lui-même en vingt-quatre heures, il accomplit un cercle qui, dans 12 000 ans, nous amènerait près de Vega.
Job 38, 5, en parlant de la terre, dit ceci :  » Qui lui a établi sa mesure… Ou qui a étendu le cordeau sur elle ?  » C’est l’exemple d’un de ces passages si fréquents dans l’Ecriture qui peut paraître obscur à première vue, mais qui s’avère de plus en plus significatif au fur et à mesure des progrès de la science. Qui jamais a parlé des mesures du globe terrestre et de ses dimensions qui auraient pu être changées ? Nous savons maintenant que si la terre était plus grande, l’atmosphère qui l’entoure ne nous suffirait pas pour y conserver la vie. La grandeur de notre planète est donc proportionnelle à l’atmosphère dans laquelle elle se meut.
Une pluie de projectiles s’abat sur notre terre, mais une épaisse couche d’air protège nos maisons et nos villes. Les rayons ultraviolets du soleil détruiraient toute vie s’ils n’étaient pas retenus par une fine couche d’ozone. La terre traverse quelquefois des essaims de millions de météores souvent pas plus gros qu’un grain de sable. Leur grande vitesse pourrait les rendre mortels, mais l’atmosphère nous en préserve en brûlant ces particules avant qu’elles ne nous frappent. En 1947, un météore tomba au nord de Vladivostock, la vague d’air comprimé secoua des rochers et projeta des arbres à une hauteur inouïe. Sont-ils les restes d’une étiole éclatée, il y a longtemps, et qui se meuvent dans l’espace ?
Que dit la Bible au sujet des vents ?
Ecc. 1, 6 :  » Le vent va vers le midi, et il tourne vers le nord ; il tourne et retourne ; et le vent revient sur ses circuits  » ; c’est-à-dire, le vent existe en tout temps puisqu’il revient sur les mêmes circuits.
Job 28, 25 :  » Il fixait au vent sa pesanteur « , l’air a donc un poids. Cette loi physique fut une chose tout à fait ignorée jusqu’en 1643 ; il fallut un concours de circonstances pour la découvrir. Des fontainiers de Florence, ayant voulu établir une pompe aspirante pour élever l’eau à une hauteur qui dépassait trente-deux pieds (environ 10 m.), n’avaient pas pu parvenir à la faire fonctionner. Torricelli trouva la solution en affirmant la pesanteur de l’air.Enfin Job 38, 24 dit ceci :  » Par quel chemin se distribue la lumière, et le vent d’orient se répand-il sur la terre ?  » Y aurait-il une relation entre la lumière et le vent, le vent d’est, plus particulièrement nommé ici ? Nous savons aujourd’hui que les vents sont la conséquence d’un échange d’air froid et d’air chaud ; les radiations du soleil, réchauffant l’atmosphère, exercent donc une influence sur les vents, sur le plus froid, le vent d’est.
Venons-en à la question de l’eau.
Es. 40, 12 pose cette question :  » Qui a mesuré les eaux dans le creux de sa main ?  » et le Ps. 33, 7 affirme :  » Il amasse comme un monceau les eaux de la mer, il met dans des réservoirs les abîmes « . Or, les savants ont calculé que la surface couverte par les eaux est proportionnelle à la surface de terre ferme. En d’autres termes, si le globe contenait moins de surfaces liquides, il ne tomberait pas assez de pluie pour arroser la terre ; et inversement, si les mers, océans ou lacs se trouvaient en plus grande quantité, la surface de terre ferme serait trop abondamment arrosée, car l’évaporation produite est en proportion de la surface d’eau. Un savant anglais, Douglas Archibald, dans son livre sur la Météorologie, s’en réfère à la Bible :

 » Dans l’Ecclésiaste, dit-il, nous sommes mis en face d’une connaissance merveilleuse du système circulatoire de l’eau :  » Toutes les rivières vont vers la mer, et la mer n’est pas remplie; au lieu où les rivières allaient, là, elles vont de nouveau  » ; et  » lui… qui appelle les eaux de la mer, et les verse sur la face de la terre  » (Ecc. 1, 7 ; Amos 5, 8).
L’exploration souterraine abonde en surprises, aussi les grottes, les cavernes attirent-elles un nombre toujours plus grand de spéléologues. Les tremblements de terre, qui en peuvent modifier d’ailleurs la topographie, ne jouent nullement dans la formation des cavernes le rôle qu’on a bien voulu leur prêter. L’action érosive et dissolvante de l’eau est le principal agent modeleur du sous-sol, d’où l’existence des gouffres appelés  » baumes « , des pertes et résurgences de rivières. La vie animale dans les grottes pose des problèmes ; on a découvert des animaux cavernicoles, aveugles, dépigmentés, à longues antennes palpant les obstacles.
Si dans certaines régions les cavernes furent le premier habitat de l’homme, dans d’autres, où le climat sec et chaud permettait de loger sous des tentes, elles servirent de lieu de sépulture. Ainsi Abraham acheta la caverne de Macpéla pour y ensevelir Sara, sa femme. David, par contre, trouva un refuge dans la caverne d’Adullam, lorsqu’il s’enfuyait de devant Saül.
Ceux qui se confient en l’Eternel demeurent émerveillés devant son œuvre parfaite qu’il nous fait la grâce de pouvoir contempler. Au fur et à mesure que nous en pénétrons les secrets, de nos cœurs nous nous écrions avec le Psalmiste:  » Que tes œuvres sont nombreuses, ô Eternel ! tu les as toutes faites avec sagesse. La terre est pleine de tes richesses. Mon âme bénis l’Eternel !  » (Ps. 104, 24, 35).

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