Deux hommes célèbres témoignent

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Abraham Lincoln

On ne peut s’empêcher d’admirer l’œuvre immense d’Abraham Lincoln, président des Etats-Unis, mais aussi son humilité, sa profonde sincérité, sa grande bonté, tous fruits de la grâce de Dieu en lui. Le secret de sa force, le ressort de sa vie, se trouvaient dans ses convictions religieuses inébranlables et dans son ferme attachement à la Bible, son livre de chevet.

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Son travail l’absorbait du matin au soir, mais il ne permit jamais aux affaires, même les plus urgentes, de lui ravir les premiers instants de la journée qu’il consacrait à Dieu et à la lecture de sa Parole.

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Un visiteur convoqué pour cinq heures du matin, était arrivé quelques minutes plus tôt et attendait dans l’antichambre. Entendant parler dans la pièce voisine, il demanda au domestique si le président recevait des visiteurs avant cinq heures.

Non, Monsieur le Président est seul, mais il lit sa Bible.

Le fait-il chaque matin ?

Oui, tous les matins M. Lincoln lit sa Bible et prie à haute voix de quatre à cinq heures.

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Faraday

Faraday fut l’un des plus grands physiciens du 19ème siècle. Fils d’un modeste forgeron, il fit tout jeune un apprentissage chez un relieur et s’instruisit en lisant des ouvrages scientifiques dans ses moments de loisirs. En 1815, Humphrey David, l’illustre chimiste, le prit à son service en qualité d’aide au laboratoire de l’Institut royal de Londres. Ce fut le début de sa brillante carrière. Ses découvertes scientifiques sont très nombreuses; on a pu dire de lui qu’il semblait posséder l’intelligence de plusieurs hommes à la fois.

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Mais sa vie de savant, si remplie qu’elle pût être, ne l’empêcha pas de penser à sa responsabilité d’homme devant Dieu, et d’acquérir, à la lumière des saintes Ecritures, la conviction qu’il était un pécheur. Il mit humblement sa confiance en Jésus Christ comme son Sauveur et vécut en vrai chrétien.

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Il mourut le 26 août 1867. Comme il approchait de sa fin, un de ses amis se pencha vers lui et lui demanda doucement:

Quelles sont, en ce moment, vos préoccupations majeures ?

Calmement, il répondit :

Des préoccupations, je n’en ai pas. Je ne repose pas ma tête mourante sur des conjectures. « Je sais qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il a la puissance de garder ce que je lui ai confié, jusqu’à ce jour-là » (2 Tim. 1, 12).

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