Être conséquent

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Quelques passages :
Ps. 119, 104, 128 ; Jér. 15, 16 ; Jean 5, 39 ; 17, 17 ; Act. 2, 42 ; 19, 9 ; 20, 32 ; 1 Cor. 10, 6, 11, 16-17 ; 12, 2 ; 16, 15-18 ; Gal. 1, 3-5 ; 3, 28 ; Eph. 4, 11-12 ; 5, 22-33 ; 1 Thes. 5, 12-15 ; 1 Tim. 1, 18-20 ; Héb. 13, 17 ; 1 Pi. 5, 1-7 ; 1 Jean 2, 24 ; 2 Jean 6.

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Nous ne devons jamais mesurer notre position par notre état ; mais au contraire, toujours juger notre état par notre position. Abaisser la position à cause de l’état, c’est donner le coup de mort à tout progrès dans le christianisme pratique.

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L’important n’est pas de recopier nos conducteurs, mais de revenir à la source d’où ils ont puisé.

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2 Jean 6 est l’un des versets qui nous exhortent à demeurer dans les choses qui sont dès le commencement. Ce qui subsiste dès le commencement, c’est cette eau pure puisée à la source.

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Par le Ps. 119, 104, 128, on comprend que la Parole de Dieu doit être notre pierre de touche de tout ce que nous rencontrons sur notre chemin, soit personnellement, soit relativement à d’autres.

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Si nous n’obéissons pas à une première vérité, quelle qu’elle soit, que Dieu nous présente dans sa Parole, jamais il ne nous en confiera une seconde. Or, l’obéissance à la Parole forme la base même de toute notre vie chrétienne.

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La réalité dans la marche chrétienne ne se montre que dans l’obéissance à la vérité que nous connaissons. La foi ne peut être gardée sans une bonne conscience (1 Tim. 1, 18-20).

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Je puis être exempt du mal personnellement, mais en m’associant pratiquement avec lui, j’ai abandonné la communion du Saint-Esprit.

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Ce qui dépendait de l’action de l’homme, ce qui lui a été confié, l’église comme vase du témoignage de Dieu sur la terre, tout cela est ruiné. Notre responsabilité actuelle est de chercher comment marcher selon Dieu au milieu de cette ruine, d’après les enseignements de l’Ecriture à cet égard.

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Pour toute personne appartenant au Seigneur, la question devrait être : « Où est le rassemblement des saints comme membres du corps de Christ, en dehors de toute secte quelconque ? Où est la table du Seigneur ? ».  « Oui », devrait dire chaque enfant de Dieu, « c’est dans ce rassemblement-là que le Seigneur m’assigne ma place ; rien n’est remis à mon choix, ni à mon goût, mais j’ai à obéir au Seigneur ! »

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Le caractère du résidu n’est pas la grandeur qui frappe les yeux du monde. Il est faible et méprisé, aussi est-il tranquille et sans crainte, et il marche dans des voies de vérité et de justice.

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Obéir premièrement et jouir ensuite doit être la règle du chrétien, au lieu de chercher la jouissance aux dépens de la vérité. Le Seigneur tiendra compte de la souffrance qui résulte de ne pouvoir marcher avec tous les enfants de Dieu.

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Si un croyant trouve que l’enseignement de personnes qu’il entend est en accord avec la Parole, il peut en profiter et en être reconnaissant ; mais sa confiance doit être en Dieu et dans la Parole de sa grâce, selon l’exhortation de l’apôtre aux anciens d’Ephèse, en Act. 20, 32.

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Si nous croyons être sur le terrain de la vérité, mais si nous ne manifestons pas dans notre vie de chaque jour les fruits qui doivent en résulter, comment pourrins-nous en convaincre ceux qui nous entourent et nous observent ?

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La Parole est la ceinture de sauvetage qui nous permet de nager sans enfoncer cotre le courant des eaux effrayantes de l’incréculité.

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