Se juger soi-même

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Quelques passages :
Gen. 28, 1-19 ; 35, 1-8 ; Ex. 40, 31-32 ; Ecc. 10, 1 ; Luc 6, 42 ; 1 Cor. 4, 7 ; 11, 28, 34 ; 12, 15-17, 21-23, 31 ; Col. 3, 17 ; 2 Pi. 1, 10.

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Aux réunions, si les uns sont préoccupés de ce qu’ils pourront entendre et les autres de ce qu’ils pourront donner, cette distraction détournera la bénédiction que le Seigneur donnerait si l’on s’attendait à lui seul.

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La cuve d’airain est là ; Aaron et ses fils s’y lavaient « lorsqu’ils entraient dans la tente d’assignation et qu’ils s’approchaient de l’autel » (Ex. 40, 31-32 ). Comme application pour le temps actuel, nous comprenons la nécessité de nous approcher dans un état convenable, lorsque nous nous rendons à une réunion que ce soit pour le culte, la prière ou l’édification.

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l est triste de penser que nous pouvons nous rassembler à notre préjudice, jusqu’à « être jugés » (1 Cor. 11, 34) ; tant il est vrai que « les mouches mortes font fermenter l’huile du parfumeur » (Ecc. 10, 1). Cette dernière allusion nous indique que si une ou des personne(s) s’approche(nt) dans un état inconvenable, il y a une grande perte de telle sorte que l’ensemble peut ne plus distinguer l’atmosphère propre à la pésence du Seigneur. Si l’assemblée n’agit pas envers le(s) coupable(s) et que par conséquent un tel état persiste, c’est le Seigneur lui-même qui agira en jugement,  jusqu’à enlever une lampe, si nécessaire.

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