Court appel à se repentir. Une repentance dont il n’y a point de regret.

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♦ ♦ ♦ 1903 ♦ ♦ ♦

REPENS-TOI

L’être humain est porté à suivre son propre chemin, sans frein ni loi, sans Dieu ni maître. Et si, par moment, il accepte le fait qu’il y a un Dieu au ciel, il ne veut de relation et d’arrangements avec Lui que si cela convient à sa façon de voir.

Nécessité de la repentance

Qu’un tel homme s’arrête pour écouter l’Évangile de Dieu !

Cet Évangile lui dit qu’il est pécheur, coupable, perdu, et que son sort est la condamnation éternelle. 

Cet Évangile lui déclare que le chemin qu’il suit aboutira inévitablement à la perdition, même s’il lui paraît juste et répond à ses aspirations.

Que doit faire cet homme dans une telle situation ?

Il doit d’abord accepter le regard de Dieu sur sa vie. Mais il en résulte nécessairement un processus douloureux et difficile de changement de pensée, de coeur et d’esprit : c’est ce qu’on appelle la REPENTANCE.

Elle suppose la foi, c’est-à-dire croire ce que Dieu me dit, et ceci m’engage dans une nouvelle attitude, une nouvelle façon de voir et d’apprécier.

La conviction de péché :
élément essentiel de la repentance

Il s’agit pour l’âme coupable de réaliser, au plus profond d’elle-même, sa condition et la condamnation qu’elle mérite. En d’autres termes, c’est m’appliquer le jugement de Dieu à moi-même, à ma condition d’homme perdu, à mon état irrémédiable de pécheur. C’est désormais voir mon oeuvre, ma vie, ma justice propre, mes prétentions avec le regard de Dieu. C’est saisir que tout ce que j’ai fait jusqu’ici pour obtenir le salut est nul devant Dieu.

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