Le combat

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Notre combat est un combat réel. L’éviter, c’est éviter la bénédiction.

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Dans le chemin de la fidélité, Satan placera devant vous des montagnes apparemment infranchissables. Mais Dieu est plus puissant que tout cela et la foi compte sur lui pour vaincre; car faire la paix avec Satan est une chose honteuse et détestable. Il n’est pas question ici de notre joie, mais de notre combat. Selon le dessein de Dieu, nous devons connaître ce qu’est la guerre. Cela nous surprend parfois et nous nous persuadons facilement qu’il y aurait plus de bénédiction si la montagne était supprimée. Mais si nous résistons à Satan et soutenons le combat en nous fiant à la puissance de Dieu, l’ennemi s’enfuit loin de nous. Il n’est pas seulement battu, mais il s’enfuit; vous en ferez l’expérience.

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Le sentier le plus difficile, à travers la lutte la plus ardente, est le chemin de la victoire et du repos; il nous fait avancer dans la connaissance de Dieu. Nous y sommes en communion avec Dieu, source de toute joie, gage et avant-goût d’un bonheur éternel et infini.

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Notre ennemi est rusé et puissant. Un chrétien manquant de vigilance, néglige la prière et la lecture de la Parole; il oublie qu’il est en lutte avec Satan et sera bientôt blessé.

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Plus nous serons fidèles, plus nous nous trouverons aux prises avec les attaques de l’ennemi. Satan a plus d’intérêt à faire broncher une âme fidèle qu’un chrétien mondain, car son but est de déshonorer l’Évangile devant le monde. C’est pourquoi, plus nous avançons, plus nous sommes exposés à broncher si nous ne nous tenons pas dans la communion de Dieu.

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La chair recherche le soulagement, elle craint les combats, les difficultés, mais Dieu ne veut pas la soulager aux dépens de l’âme.

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Si nous possédons la grâce de Dieu, nous craignons réellement l’Ennemi de nos âmes. Le mondain craint Dieu: il a peur de lui; mais il ne craint pas Satan. Il fuira l’homme qui lui parle de Dieu, et ne craindra pas celui qui l’entraîne au mal. Le chrétien, au contraire, n’a plus peur de Dieu, mais il redoute Satan. Connaissant sa faiblesse et l’ennemi toujours aux aguets, il sait très bien que, s’il se laisse séduire, il contristera le Saint Esprit. L’enfant de Dieu, possédant un tel trésor, craindra le ravisseur.

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Plus il cherche à entraver les desseins de Dieu, plus Satan pousse à leur accomplissement.

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