Joie : création et venue de Jésus

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 Deux grands sujets de joie : la création et la venue de Jésus
Oh ! quelle joie éclata dans le ciel,
Lorsqu’à la voix du Fort, de l’Éternel,
Surgissait la lumière.
Quand de son bras il étendait les cieux,
Quand, déployant son pouvoir glorieux,
Sa main formait la terre !

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Chacun aime la joie, mais elle est difficile à trouver, surtout une joie réelle et durable. Mais il y a de grands sujets de joie qui sont à la disposition de tous les hommes: personne n’est excepté. Ce n’est pas une joie qui passe, mais bien une joie qui dure à toujours; ces sujets de joie sont tous mentionnés dans la Parole de Dieu où chacun pourra les chercher et en faire son profit. Ils sont gratuits comme tout ce que Dieu donne.

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Un premier sujet de joie se trouve dans le livre de Job: chapitre 38, verset 7. Là les anges, qui sont appelés les fils de Dieu, chantaient de joie. Ils se réjouissaient en voyant ce que nous pourrions appeler la naissance du monde, car tout a un commencement ici-bas: une maison n’a pas toujours existé, un arbre a cru et nous-mêmes nous avons eu un jour de naissance. Les anges, qui ont été créés avant le monde, pouvaient contempler la terre quand elle se formait; la mer quand ses eaux s’assemblaient, les montagnes quand elles s’élevaient, les vallées quand elles s’abaissaient, quand l’herbe verte germait de la terre, quand les arbres croissaient, quand le ciel se peuplait d’étoiles, quand le soleil et la lune, pour la première fois, venaient éclairer la terre et quand la terre produisit des multitudes de quadrupèdes, d’oiseaux, de reptiles et de poissons. Ces anges se réjouissaient en voyant toutes ces merveilles et la puissance du Dieu créateur qui amenait toutes ces choses à l’existence.

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Nous aussi nous avons à célébrer celui qui a fait tant de merveilles. Pouvons-nous rester la bouche close lorsque nous voyons le soleil se lever, en parcourant les campagnes semées de fleurs, en entendant chanter les oiseaux, en contemplant les hautes montagnes, ou en présence des vagues furieuses de la mer Il est vrai que tout est gâté maintenant; le péché de l’homme a tout assujetti à la vanité: les nuages, souvent, viennent voiler l’éclat du soleil, les fleurs se fanent et tombent, les animaux sont sauvages, féroces ou venimeux; puis il faut mourir et abandonner tout ce qu’on a aimé, tout ce en quoi l’on s’est réjoui. Faut-il donc pleurer? Nullement.

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Au contraire nous pouvons nous réjouir et d’une grande joie, car Dieu va faire de nouveaux cieux et une nouvelle terre dans lesquels la justice habitera, là plus de péché, plus de mort, plus de larmes, plus de séparations et tout demeurera parfait éternellement. Ne pouvons-nous pas nous réjouir en pensant à toutes ces choses qui nous sont assurées, car elles reposent sur les promesses du Dieu qui ne peut mentir.

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Oh ! quelle joie éclata dans le ciel,
Lorsqu’ici-bas, Jésus, Emmanuel,
Naquit dans la faiblesse !
Les anges saints disaient :  » Gloire au Seigneur !
Paix sur la terre !  » et le céleste chœur
Tressaillait d’allégresse.

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